AVANCER ENSEMBLE
Après remise tardive de l’ensemble des propositions de la direction concernant le futur
statut collectif, la réaction de rejet a été unanime de la part des organisations syndicales.
Celles-ci ont demandé à la direction un certain nombre de précisions et d’explications
concernant notamment le dispositif salarial, les classifications et les métiers. Ces
informations ont été remises en séance hier.
Loin d’apporter les clarifications nécessaires, elles ne font que confirmer la volonté de la
direction de détruire toutes les garanties en matière de progression de carrière en ne
fixant que des minimas, inférieurs à l’existant.
Quant aux métiers, on constate le même acharnement à les voir disparaître.
Il n’y a donc aucune avancée, bien au contraire, et la direction campe sur la déclaration
politique de Patrick de Carolis.
Discuter sur le texte de la direction mène à une impasse.
Dans l’attente de la décision du tribunal sur la durée de survie des conventions en
vigueur, prévue le 7 avril, il est donc préférable d’élaborer, avec toutes les
organisations syndicales et la participation des salariés, un contre projet offensif
sur la base de nos garanties actuelles.
statut collectif, la réaction de rejet a été unanime de la part des organisations syndicales.
Celles-ci ont demandé à la direction un certain nombre de précisions et d’explications
concernant notamment le dispositif salarial, les classifications et les métiers. Ces
informations ont été remises en séance hier.
Loin d’apporter les clarifications nécessaires, elles ne font que confirmer la volonté de la
direction de détruire toutes les garanties en matière de progression de carrière en ne
fixant que des minimas, inférieurs à l’existant.
Quant aux métiers, on constate le même acharnement à les voir disparaître.
Il n’y a donc aucune avancée, bien au contraire, et la direction campe sur la déclaration
politique de Patrick de Carolis.
Discuter sur le texte de la direction mène à une impasse.
Dans l’attente de la décision du tribunal sur la durée de survie des conventions en
vigueur, prévue le 7 avril, il est donc préférable d’élaborer, avec toutes les
organisations syndicales et la participation des salariés, un contre projet offensif
sur la base de nos garanties actuelles.